NOTRE HISTOIRE
Il était une fois, deux globe-trotteurs et une cigogne
Tout a commencé à Bruxelles, en Belgique, mère-patrie des plus éminents créateurs de mode. Un simple hasard qu’Aurélie et John, les fondateurs de Milk Away, en soient originaires ? Non, on ne croit pas ! #belgiandoitbetter C’est donc dans cette ville cosmopolite que le monde nous envie qu’a lieu leur rencontre et que débute leur love story qui, très vite, va se transformer en véritable aventure : celle de l’expatriation.
Bruxelles, Mumbai, Salzbourg, etc. Leurs jobs respectifs les amènent aux quatre coins du monde mais c’est finalement en Autriche que le duo créatif décide de poser ses valises. Et c’est là-bas, au milieu des montagnes, qu’ils feront la rencontre bouleversante d’une cigogne, celle qui changera leur vie à tout jamais et qui sera le point de départ de Milk Away.
Une cigogne nommée Doug
En Autriche, la tradition veut que chaque naissance soit fièrement annoncée par l’installation devant le nid familial d’une cigogne, confectionnée par des proches.
Une tradition inspirée par la légende du Kinderbrunnen (« le puits aux enfants ») selon laquelle il existerait, sous de la cathédrale de Strasbourg, un lac où s’amusent les âmes des enfants en attendant leur venue au monde. Les femmes désireuses de devenir mères doivent venir se pencher au-dessus d’un puits menant au lac pour y formuler le souhait de voir arriver un enfant dans le foyer.
Ce vœu est alors entendu par un gentil gnome à barbe blanche circulant sur l’eau à bord d’une barque argentée et muni d’un filet en or. Sa mission ? Attraper délicatement un nouveau-né et le déposer au bord du puits pour qu’une cigogne vienne le chercher et l’apporter auprès de sa famille dans un joli panier. L’image de la cigogne s’est rapidement répandue à travers toute l'Europe et même bien au-delà ; jusqu’en Extrême-Orient et en Amérique du Sud.
Et c’est donc grâce à l’arrivée de Doug (qui a décidé de faire bosser ses parents un 1er mai !) que Milk Away est né.
L’envie d’être femme, mère et d’allaiter
Pourtant, l’allaitement tout terrain n’est pas toujours un jeu d’enfant la faute à des vêtements mal pensés. Alors comment allaiter sans devoir se déshabiller à chaque fois ?
Franchement, je n'avais rien de correct à me mettre. Aucun vêtement confortable, de qualité et discret. Je n’avais pas envie de crier au monde entier que j’allaitais à coup de gros slogan. J’ai souvent été confrontée à des modèles foireux, mal coupés, de mauvaise qualité et sans système d’ouverture bien pensé. Je rêvais simplement de remettre ma petite robe d’été et des t-shirts sympas dans lesquels je n'avais pas l'air d'un sac. J’avais juste envie de me sentir élégante, cool mais pas nunuche, tout en pouvant allaiter discrètement. Si je ne trouvais pas ce qu’il me fallait, il était évident que je n’étais pas la seule. Alors… pourquoi ne pas imaginer une collection ?Grâce au coup de pied au cul de mon mari, John, j’ai lancé Milk Away !
Je n’oublierai jamais cette image au resto. Doug avait cinq jours. Aurélie allaitait, il était complètement caché sous son pull. Est-ce qu’il respire encore, au moins ? Je ne le vois plus! Je me suis dit que la vie pourrait reprendre son cours comme avant s’il n’y avait pas toutes ces acrobaties pour cacher l’allaitement !
Quand elle m’a parlé de son idée de collection, j’étais convaincu. Pour moi, c’était LA bonne idée. Notre cible semblait conquise, et moi, le papa inquiet, ça m’a rassuré. Alors on a foncé (rires) !
John, Super Dad
#wearefamily #inmumwetrust #indadwetrust #wearewomums #wondermums